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Les domaines d'action de la biorésonance ont été définis scientifiquement par le Ministère de la Santé de la Fédération de Russie et publié en l'an 2000 dans la note n° 2000/74. Vous pouvez téléchargez ce document traduit en français.

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Étude sur 503 patients en biorésonance

Une certaine littérature “déconstructive” à propos la biorésonance nie l'existence d'études scientifiques. Or il se trouve que dans le document disponible ci-dessus, une étude a été effectuée à l'hôpital sur 503 patients ! En voici une partie des conclusions (traduites du russe par Google Translation) :

 

« Au total 503 patients présentant diverses pathologies ont été traités, dont 361 femmes et 142 hommes. Par catégories d'âge, les patients étaient répartis comme suit : 214 personnes (42,6 %) avaient moins de 40 ans, 242 personnes (48,1 %) avaient entre 40 et 60 ans et 47 personnes (9,3 %) avaient plus de 60 ans. La pathologie couvrait la majeure partie de la liste complète des formes nosologiques. Presque tous les patients, en plus d'une pathologie principale, souffraient de maladies concomitantes. Les traitements antérieur n'avaient pas eu d'effet durable. (…) Les séances de traitement avaient une durée moyenne de 40 minutes, se déroulant de manière quotidienne à une fois par semaine. Le nombre de séances réalisées pour chaque patient était de 3 à 15. Entre les séances, les patients prenaient des médicaments homéopathiques et allopathiques. Un effet positif a été obtenu chez 95,2 % des patients, sans amélioration chez 4,8 %. L'amélioration était comprise comme la possibilité de réduire la dose du médicament, jusqu'à l'annulation complète ou partielle d'autres types de traitement, avec toutefois la nécessité d'une séance d'entretien à long terme pour améliorer le bien-être et de l'état du patient, tout en poursuivant la pharmacothérapie initiale. L'efficacité relativement élevée des traitements s'explique par le fait que les patients avaient été choisis en fonction de pathologies connues pour pouvoir être traitées positivement par la biorésonance. Si la principale méthode de traitement était la biorésonance, elle était complémentée par la pharmacothérapie, l'homéopathie et d'autres méthodes de traitement généralement acceptées. » 


Indications & contre-indications pour le traitement en biorésonance

Ces indications et contre-indications ci-après sont reprises des recommandations de l'étude du Ministère de la Santé de la Fédération de Russie.

 

Indications

  • troubles fonctionnels d'origines diverses
  • maladies du système nerveux et des organes sensoriels
  • syndromes douloureux de localisation et d'origine diverses
  • maladies du système circulatoire
  • maladies respiratoires
  • maladies du tractus gastro-intestinal
  • maladies de la peau et du tissu sous-cutané
  • maladies du système musculo-squelettique
  • maladies urinaires et génitales
  • plaies et ulcères à cicatrisation difficile

Contre-indications

  • tumeurs bénignes et malignes
  • trouble de la coagulation sanguine
  • troubles aigus de la circulation cérébrale et coronarienne
  • grossesse*
  • épilepsie
  • port d'un stimulateur cardiaque**
  • intolérance individuelle au courant électrique
  • dommages et maladies de la peau dans les zones de stimulation électrique 
  • état d'excitation mentale aiguë ou d'ivresse

* Il n'existe pas de danger particulier pour les femmes enceintes, mais la présence du fœtus est une source de perturbations pour les mesures.

** Il n'existe pas de danger pour les personnes portant un stimulateur cardiaque, mais ce dispositif est un perturbateur potentiel des mesures.

 

En complément, le même document stipule que la biorésonance est recommandée pour le traitement :

  • des maladies dégénératives chroniques de la colonne vertébrale et des articulations (arthrose, ostéochondrose, etc.)
  • des maladies neurologiques (syndromes douloureux éventuels, névralgies, migraine, sclérose en plaques, etc.)
  • des maladies chroniques du tractus gastro-intestinal (gastrite, colite, hépatite, pancréatite, etc.)
  • des maladies auto-immunes (psoriasis, polyarthrite rhumatoïde, etc.)
  • des maladies endocriniennes (diabète de type 2, hypothyroïdie, etc.)
  • des allergies de toute origine.